Le site de Jacques Chevalier

EXERCICES DE MEMOIRE

Voici une rubrique où je fais appel à ma mémoire

En fait, là j'ai presque 71 ans, j'ai donc presque toute ma vie derrière moi, c'est dire si j'en ai vécu des choses auissi bien que moches, aussi gaies que tristes. Même si j'ai peu parcouru le monde, mes plus longues sortie de Belgique furent en Pologne, en Tchécoslovaquie, en Allemagne de l'Est (Weimar, Buchenwald), en Espagne (Calpe), en Angleterre Londre et Cambridge, en Italie (Sorrente, Rome), en <République Fédérale Allemande (Siegen, Dortmond,Vreden, Dusseldorf, Reklignhausen, Ergste), souvent en France (Paris, Colmar, Cabasse, Pornic, Bretagne, Vendée, Normandie, Côte d'Opale et j'en oublie).

Ici je tente de faire appel à ma mémoire à propos des voyages de plusieurs jours seul ou en bonne compagnie, le premier souvenir date de l'été 1978 à Moreira, près de Calpe, vacances en compagne de Christiale et ses deux enfants dans la villa de son oncle Attention j'écris celà comme des histoires subjectives  dont je me rappelle sans que ce soit très précis, notamment au niveau des dates et des situations. Il y aura parfois ce que l'on peut appeler des détails, sans intérêt pour mes lecteurs et dont je suppose que mes co-vacanciers de lépoque ne s'en souviennent pas ou plus. Ce texte comme les suivants, je le paufinerais en raccrochant les chainons manquant, de ces périodes. C'est l'avantage de mon site, je peux toujours revenir sur mes textes pour être le plus complet possible. Allez on commence !

On commence en 1978 pour nos vacances en Espagne...

Destination "Calpe", plus exactement Moreira, une villa isolée sur des terrains en terrasses décenant jusque la Méditerranée, dans la villa de l'onclz de ma compagnbe de l'époque : Christiane avec ses deux enants de 6 et 4 ans.

Pour l'occasion j'ai offert à ma compagne une robe en soie achetée très cher à l'Innovation, une robe très légère, transparente. Christiale s'offre aussi un maillot de bain une pièce noir... On peut se le permettre, on "loue" la villa pour les frais du voyage aller-retour en avion et nos repas et loisirs sur place

L'oncle vient nous chercher à l'aérodrome d'Alicante on passe par un gigantesque supermarché Carrefour faire quelques provisions et boissons.

On loge une autoroute près de la mer, les champs alentour sont comme brulés, c'est impressionnant, on se demande si on est toujouyrs en Europe, puis au loin on distingue mieux la bande côtière avec des stations balnéaires à l'horizon. L'oncle nous indique le village de Calpe mais nous biffurquons avant pour descendre une roure, ou plutôt un chremin de terre descendant en zigue-zague vers la mer, successions de virage en tête d'épingle, on comprend de suite pourquoi on roule dans une si petite voiture. Pas la moindre batisse pendant ubn kilomètre dez descente et puis, tout-à-coup une villa complèrezment isolée à mi-colline On est arrivés, l'oncle rentre par le garage en dessous du corps de logis. Là il écrase un drôle de petit animal, un scolopendre, une variété locale de scorpion, pas trop dangereux...

On monte et on salue la soeur de Christiane qui finit ses vacances le lendemain. Il fait très chaud dehors, heureusement, sans air condtionné, il fait agréable tant dans les pièces aue sur la terrasse couverte donnant en une longue plongé une vue superbe de la mer, lain à gauche une grosse villa sur un prémontoire et à droite, encore plus loin une seule batisse comme la nôtre. Peu avant de biffurque sur le chemin de terre l'oncle nous montre un minuscule magasin où on pourra se fournir en pain frais et en boissons.

L'oncle nous prépare une grande salade très rafraichissante et nous invite à boire quelques sangrias-maison Je ne me souviens plus de la suite de notre arrivée, sangrias + fatique du voyage = un gros dodo.

Sa soeur est repartie vers la Belgique, son oncle repartira plus tard, il nous invite à découvrie les curiosités locales, un calanque notamment où il nous propose d'y aller nous baigner nus, Christiane comme moi et les enfants on ne l'accompagne pas. Après nous arrivons à Calpe, là une plage en demi-cercle avec une espèce de digue avec des restaurants de diverses cuisines du monde, avec surtout cette grand brasserie allemande d'ou sortent à plein sons les émanations musicale et de houblon des "octoberfest". Un peu plus loin une éspèce de pettit port où quelques pêcheurs vendent sur de pauvres étals leurs pêche de la journée, c'est à dire pas grand chose.

Les jours se passent enfarniente sur la terrasse, l'onclest reparti et nous on se met à découvrir librement le pays. Personnelement j'ai fait connaissance avec le petit magasin d'en haut, vingt minues pour y arriver, le matin il ne fait pas trop chaud mais j'y arrive en sueur quand même et le patron de la boutique m'offre un petit vert de vin blanc nocal bien frais. Je charge mes commissions, dont à chaque fois une pastèque dans mon sac avant de redescendre sous un soleil ardent. Christiane lézarde dans les transat sur la terrasse, les enfants jouent calmement, c'est de la détente pure. On se sent bien mais il faut découvrir la pays alors on part à l'aveugletrte, polage de calbe, bains (en maillotrs) dans la baie, il ty a peu de gens sur la plage mais beaucoup dans les bistrots internationaux débitant leurs chambards pseudo-culturels à tue-tête.

Un jour nous allons à Bénidorm, là c'est blindé de touristes et le soir on assiste à une corrida avec mise à mort.

On va aussi visiter un autre jour un chateau médiéval perché sur une colline et sur le chemin on s'arrête (besoij de pipi collectif) dans un grand bistrot à vec terrases et jeux pour enfants et là nous faisons la rendontre fortuite d'une collègue aide-familale, Chantal D.,avec son mari et ses gosses, le monde est petit !

(A suivre)

Date de dernière mise à jour : 15/04/2024

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