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  • Les punaises de lit... faut-il en avoir peur ?

    Le débat du WE - 7 au 9 octobre 2023 sur Facebook

    FAUT-IL AVOIR PEUR DES PUNAISES DE LIT ?

    Pour introduire le débat voici, in extenso, un article daté d'aujourd'hui trouvé sur le JIM, Journal Internatrional de la Médecine :

    'Pourquoi les punaises de lit nous font-elles si peur ?

     

    Paris, le vendredi 6 octobre 2023 – Comme nous l’évoquions cette semaine dans nos colonnes (car le JIM ne pouvait échapper à la folie collective du moment), les punaises de lit ont soudain envahi tout l’espace, reléguant au second plan l’inflation, le drame des migrants ou la guerre en Ukraine.

    « Sentiment » de punaises de lit

    Bien sûr, nous retrouvons ici l’influence de la focalisation médiatique. Ce sont les mêmes images rediffusées en boucle de potentielles punaises dans les transports parisiens (mais en était-ce vraiment ?) qui ont inévitablement créé un sentiment d’infestation généralisée, la réalité n’ayant que peu d’importance. Ce tourbillon journalistique (qui a très largement dépassé nos frontières) convoque un vocabulaire où l’on perçoit que les éventuels problèmes dermatologique associés aux punaises de lit sont loin d’être la première préoccupation. « Psychose », « paranoïa », « stress », « dépression », « syndrome post-traumatique », « rend fou » : titres et textes sont truffés de références aux pathologies psychiatriques. Ce champ lexical n’est sans doute qu’une nouvelle illustration de la tendance majeure à la « psychiatrisation » du moindre phénomène sociétal.

    Pas plus dangereux qu’une lasagne de cheval

    Mais parallèlement à cette émergence de la folie incarnée par le petit insecte peu ragoutant, certaines productions médiatiques tissent également une filiation avec l’épidémie de Covid. D’abord, parce que de de la même manière que les reportages de mars et d’avril 2020 sur la saturation des hôpitaux semblaient parfois des répétitions de reportages oubliés des hivers précédents, les vidéos et autres articles d’aujourd’hui sur les punaises de lit avaient été annoncés par des dizaines d’autres au cours des mois et années passés. Mais au-delà, ce qui est parfois retenu par la presse fait largement écho avec la Covid.

    Ainsi, dans un article du Monde du mois d’août, les intertitres auraient ainsi pu tout à fait aussi bien s’appliquer à un texte sur SARS-Cov-2 : « Phobie extrême », « Peur de contaminer » mettait ainsi en exergue l’auteur. Il n’est pas impossible que la punaise de lit déclenche les mêmes réflexes que l’irruption de la Covid dans nos vies, parce qu’elle (re)débarque dans un même monde où l’obsession sanitaire est de plus en plus forte.

    « Ce qui rend ce virus si dangereux ce n’est pas seulement ce qu’il est. C’est la société qu’il trouve en arrivant chez nous : ses psychoses, ses vulnérabilités. Souvenons-nous de la terreur provoquée par les lasagnes de cheval et le lait Lactalis qui ne tuèrent personne » écrivait (très prématurément) le journaliste Jean Quatremer sur la Covid au printemps 2020 ; remarque qui pourrait encore mieux s’appliquer aux punaises de lit qui à la différence de la Covid ne tuent personne à l’instar des lasagnes de cheval !

    Risque zéro

    Beaucoup espéraient vivre dans une société aseptisée qui est pourtant sans cesse malmenée par des nuisibles invisibles ou insaisissables : virus et punaises. L’hyper technologie ne nous a pas protégé de SARS-CoV-2 (même si elle nous a finalement permis de le tenir très clairement à distance) et la même stupéfaction (surjouée) nous étreint aujourd’hui face aux punaises.

    Ainsi, les punaises, comme tant d’autres « fléaux » avant elles, nous rappellent que nous vivons trop souvent dans « l’illusion de croire que tout peut être anticipé » pour reprendre l’expression de la politologue Virginie Tournay, qui évoquait alors des polémiques autour des substances chimiques. Ces discussions, poursuivait-elle, « s’inscrivent également dans un idéal utopique d’une société au risque zéro ». Là encore, l’éclairage peut s’appliquer à notre soudain irrépressible besoin de traquer les petites bêtes… et comme souvent de s’en remettre aux pouvoirs publics (implicitement considérés comme responsables).

    Sauterelles

    Ainsi, de très nombreux ingrédients étaient présents pour que les punaises deviennent les stars qu’elles sont aujourd’hui. D’autres peuvent être évoqués. L’invisibilité (relative) bien sûr nourrit facilement les fantasmes ; ici c’est le caractère insaisissable qui alimente les inquiétudes. Insaisissable et invérifiable : tout insecte indéfini peut devenir une punaise de lit, ce qui multiplie à l’infini les raisons de paniquer (et les reportages internationaux). En outre, contrairement à d’autres fléaux plus collectifs et globaux (la guerre, le réchauffement climatique les migrations pour certains), la punaise est une menace qui semble pouvoir nous toucher matériellement et individuellement, ce qui assurément ne manque pas d’avoir plus d’impact.

    La proximité du mal (« tout le monde connait quelqu’un qui… ») a également une force majeure. Nos punaises sont d’ailleurs très facilement devenues les instruments de la peur de l’autre, qu’il n’est jamais difficile de réveiller. Peur de l’étranger (puisque les migrations seraient en partie à l’origine de la diffusion des petites bestioles) mais au-delà peur de tous.

    En effet, comme au cœur de la pandémie de Covid, nous devenons tous suspects aux yeux des autres d’abriter (peut-être sans le savoir) ce qui pourrait faire basculer leur existence. La presse, encore elle, nous le rappelle d’ailleurs : « Tout le monde peut être touché », énonçait par exemple Nice Matin, tandis que le terme de « lépreuse » utilisé dans un article récent de Libération n’est pas non plus totalement anodin. Comment enfin ne pas voir dans notre mini panique (qui devrait cependant être rapidement balayée par une autre) un relent millénariste : nos petites punaises agissant comme les sauterelles de l’Apocalypse.

    A moins qu’écrasés et réellement impuissants face aux vraies (mais également en partie invisibles) catastrophes qui nous menacent (guerre, réchauffement climatique, inflation…), nous préférons taquiner la petite bête.  

    Sans pouvoir trancher, on relira :

    Le blog de Jean Quatremer : http://bruxelles.blogs.liberation.fr/2020/04/30/confinement-le-debat-interdit/

    Virginie Tournay :

    https://www.jim.fr/medecin/pratique/recherche/e-docs/substances_preoccupantes_a_letat_de_traces_une_communication_scientifique_sensible_173792/document_edito.phtml

    Aurélie Haroche "

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  • Blog à Jak 26 juin 2021

    Ils avaient raison les conspirationnistes, les canicules tuent plus de vieux que la Covid 19. En fait il faut voir le phénomène dans son ensemble, depuis qu'il existe en temps. On peut aussi dire - en suivant ce raisonnement - qu'il y a plus eu de pendus dans l'Histoire que de morts sous les respirateurs des hôpitaux durant la pandémie de la Covid 19..

    En fait, un conspirationniste n'admet que sa conception de la vérité, c'est pratique il suffit d'assister à un fait quelconque, de  préférence lointain, si loin que personne n'ira voir sur place s'il repose sur des bases tangibles et peut faire peur à tout qui en parle, tout qui parle à son tour et peut (du verbe pouvoir) apparaître "crédible", le conspirationniste lambda (dans lambda il y a "lamb") verra en la première analyse du fait une ou des contradictions montées de toutes pièces par des personnalités de préférence très riches voire des extra-terrestres qui ont de mauvaises intentions.

    Le conspirationniste est souvent de sexe masculin,allez savoir pourquoi, même s'il prendra pour références quelques fois d'imminentes expertes pour prouver l'exactitude de ses jugements déjà pensés et repensés bien avant par leurs modèles que certains opposants à leur doctrine nomment "gourous". 

    J'ai connu dans ma jeunesse un conspirationniste sympathique qui fut candidat aux élections communales à Liège, il se disait vitaliste et encourageait les jeunes à manger du pain gris, il avait un slogan qui, à notre époque, aurait plu aux conspirationnistes de tous poils ; "Même ce qui est vrai... est faux !"

    Perso, dans cette crise du Coronavirus, après quelques hésitations car j'étais loin des réalités objectives sur les terrains où se battaient les personnels de la santé, où les gens, dont nombre de personnes âgées, mouraient à la pelle, je me suis donc masqué et ai respecté les consignes de distanciations, j'ai été qualifié de "traître" par nombre d'amis de gauche qui estimaient que la pandémie était une invention de "big pharma", un truc de l'extrême droite ett "le grand capital" pour conditionner les gens à l'embrigadement et à fermer leurs g.... J'ai donc opté pour la lutte contre le virus et j'ai espéré qu'un vaccin arrive et délivre les gens de la menace même si, j'avoue, je me méfiais un peu de ces substances et des risques possibles. Je ne regrette pas d'être en processus de vaccination,je constate que "ça" marche, que les chiffres en Belgique sont bons, ce n'est pas le cas dans les pays pauvres où seuls leurs dirigeants et leurs police et armée sont vaccinnés, là, les chiffres au quotidien avalisent la dangerosité du virus et de ses multiples variants.

    Maintenant,depuis quelques jours, je pense devenir un peu conspirationniste,il me semble qu'on nous cache des choses sous la belle image d'un déconfinement presque total. Je m'explique : cette semaine les hopitaux sont moins fréquentés par les malades de la Covid, les chiffres sont positifs, ils diminuent plus vite encore que ce qu'on avait cru , de l'autre côté il faut bien reconnaître qu'on vaccine beaucoup plus, les chiffres des nouvelles contaminations sont en baisse dans leur globalité (mais le nombre des tests hélas n'est plus très élevé et cela pose problème) et puis il y a depuis deux jours une hausse subite des cas de nouvelles contaminations en Provinces de Namur et de Liège, un peu comme si le virus suivait le courant du fleuve et, pour le moment, se plairait du côté de la centrale nucléaire de Tihange, mais cette hausse ne figure que par le détail des communes concernées alors que pour l'ensemble on semble ne pas tenir compte de ceux-ci. Les personnes qui suivent mon blog ont été averties et les chiffres que je publie en dernière partie du blog confirment ce qu'il n'y a que très peu de gens voient, la plupart des belges et les médias n'ont que le foot et les vacances comme soucis...

    Avant de passer aux chiffres voici ma vidéo la plus célèbre vue par 123.000 personnes, celle qui a le don de faire ch... tous les complottistes du monde entier ! Cliquez sur :

    (1) JE PLEURE - YouTube

    Et voici les chiffres du jour : personne ne s'est étonné dans les médias, hier il n'y avait que 3 morts et ce matin : HUIT !

    Hier 13 personnes ont été hospitalisées Covid, 23 en sont sorties, 380 étaient hospitalisées contre 422 la veille, 157 en soins intensifs contre 175 la veille et 101 sous respirateur contre 109 la veille !

    Les tests servant de référence aux nouvelles contaminations publiées ce matin : 49.731 soit 7954 de plus que la veille.

    Oupeye : 4 (- 1), Liège : 15 (- 20), Anvers : 26 (- 8), BXL 19 com : 89 (+ 21), Trooz : 2 (-5), Gand : 11 (+ 2); Charleroi : 8 (-3), LaLouvière : 3 (+ 3), N-A : 22 (-5), Herstal : 2 (- 2), Seraing : 2 (-9), Eupen : 2 ( + 1), Verviers : 6 (+ 2), Hasselt : 1 (- 2) Mettet : 1 (+ 1), Namur: 1 (+ 1) 

    Andenne : 13 (+ 2), Amay : 10 (- 18), Huy : 22 (- 35), Engis: 9 (+ 2), Wanze : 17 (+ 10).

    Ah oui j'oubliais de vous dire que via une petite phrase en anglais sur son site Sciensano nous dit qu'il ne publiera pas ses chiffres dorénavant le dimanche et le lundi, on verra ce qu'il en sera demain...

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  • Blog à Jak 21 mai 2021

    Mais que faire des stocks d'Astra Zeneca ? La France a des idées...

    En Belgique on finira bien par les utiliser même quand tous les autres pays n'en feront plus usage, parce qu'il est écrit que les belges ne font jamais comme les autres. Ceci dit, il va quand même falloir penser à rouvrir les salles de cinéma et les théâtres  au plus tard le 10 juin parce que, là, les Français sont déjà plus déconfinés que nous.

    A l'heure où je vous écris ce billet le fugitif sniper facho est toujours quelque part avec son lance roquettes et quelques munitions, dans la nature, la verdure ! Hier, des gens ont entendu des coups de feu dans la réserve naturelle qu'on ne savait même pas quelle existait, mais après l'info, motus.

    Cette grande forêt même les flamands et autres hollandais ignoraient son existence persistant à polluer quand que ce soit la Fagne alors qu'ils auraient pu larguer leurs déchets dans ce bel endroit et même s'y faire bronzer dans les clairières, très  nombreux, sans risque d'être arrosés par la police fédérale et sa grande armada. Bon, comme pour tout chez nous : à suivre !

    Venons-en aux chiffres en commençant par les morts qui font du yoyo : 1e 17 : 23 morts, le 18 : 14, le 19 : 26, le 20 : 19, le 21 : 26 !

    Dans les hôpitaux la charge viral diminue en constante : 121 nouvelles admissions hier contre 141 la veille, les sorties : 167 contre 174, les lits coccupés : 1642 contre 1702, les soins intensifs : 562 contre 589, les respirateurs : 361 contre 363. Les vaccinations : le 18 : (1ères et 2èmes doses) : 190.598, le 19 : 144.284.

    Les nouvelles contaminations sur base des tests du 19 : 62461 (contre 71.215 la veille) soit 8.644 de moins, cela nous donne des plus et des moins en pagaille aux niveaux des cas confirmés selons les lieux  (en rouge les communes  plus) :

    Oupeye : 15 (- 3), Liège : 37 (- 63), Anvers : 219 (plus 8), BXL 19 com : 382 (plus 37), Gand : 65 (- 25), Charleroi : 101 (plus 30), La Louvière : 25 (- 27), N-A : 70 (Statu quo), Bassenge : 2 (- 2), Herstal : 10 (- 12), Juprelle : 3 (plus 1), Visé : 6 (plus 1), Seraing : 24 (- 10), Eupen : 3 (plus 2), Malmedy : 4 (plus 2), Saint-Vith : 2  (plus 1), Spa : 2 (plus 2), Verviers : 6 (- 6), Hasselt : 17 (plus 3), Saint Trond : 2 (- 4), Arlon : 16 (plus 8), Aubange : 1 (SQ), Marche : 8 (plus 5), Andenne : 17 (plus 11), Floreffe : 4 (plus 4), Mettet : 4 (- 9) Namur : 41 (plus 11)

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  • Blog à Jak 6 mai 21

    Est-ce que les sites de rencontre sont déconfinés ? Qu'en disent les experts ?

    Quelles sont les précautions, est-ce que les rencontres seront autorisées sur les terrasses dès ce samedi, est-ce que les cafetiers et restaurateurs pourront mettre à disposition des tables et chaises pour 2 personnes maximum ? Bon, cela a l'air con mais il faut être le plus exhaustif possible dans la situation actuelle pour éviter les dérapages.

    Ce jeudi les chiffres sont à la hausse, 39 morts, 4 de plus qu'hier et du côté des nouvelles contaminations ça monte fort mais faut dire que le nombre de tests de référence a lui aussi explosé ! 63.742 tests effectués il y a deux jours par rapport à 48.198 la veille, ceci vous le verrez en fin de ce billet.

    Ceux qui baissent - par contre - sont ceux relatifs aux hôpitaux : 164 nouvelles admissions, c'est 28 de moins, les sorties sont 253 (- 38), les lits occupés : 2482 (- 126) les lits en soins intensifs : 757 (- 37), sous respirateurs : 470 (- 22).

    Ceux qui stagnent : Les vaccinations : le 4 mai : 87.039, le 3 mai 84.875.

    Revenons sur les nouvelles contaminations :

    Oupeye : 13 (statu quo), Liège : 50 (- 17) Anvers : 221 (+ 103), BXL 19 com : 399 (+ 100) Trooz : 4 (- 3), Gand :122 (+ 65), Charleroi : 142 (+ 72), N-A : 123 (+ 79).

    Bassenge : 2, Herstal : 16, Juprelle 6, Visé : 14, Seraing : 36, Eupen : 7, Malmedy : 4, St Vith : 4, Spa : 1, Verviers : 17, Hasselt : 16, St Trond : 16, Arlon : 10, Aubange: 2, Durbuy : 5, Marche : 10, Andenne : 16, Floreffe : 8, Mettet : 14, Namur : 44, Roulers : 51, La Louvière : 41.

    Dans ma commune : Oupeye, plus que 17 contaminations et on atteindra le cap des 3000, soit presque 12 % de la population !

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  • Bilan Covid 3 février 2021

    Aujourd'hui je vous cause de la vaccination en Belgique.

    Un petit rappel, les premières doses Pfiser ont été délivrées le 28 décembre 2020 dans un grand concerto médiatique, la "campagne de vaccination" est commencée officiellement depuis le 5 janvier même si cela a commencé très lentement, au vu de ce que faisaient les autres pays on a établi une programmation dans le temps, avec des objectifs jouables, sans tenir compte des failles des fournisseurs qui - au total - devraient fournir in fine plusieurs dizaines de millions de vaccin, bien de quoi vacciner 40.000.000 de belges (de plus de 18 ans et acceptant d'être vaccinés). 

    On pouvait s'attendre à un premier mois fantastique avec la vaccination de tous les résidents et tous les personnels de toutes les maisons de repos. Mais début janvier on apprenait que Pfiser n'allait pas satisfaire complètement sa première livraison, avec répercussions en Belgique où l'on se dit que le vaccin en deux injections, même s'il devenait difficile à injecter au monde prévu, pouvait utilement gonfler le nombre des bénéficiaires de la première dose puisqu'on "pouvait" différer de plus de 21 jours d'administration de la seconde dose, alors on a même piqué cette 1ère dose à des familles de résidents des maisons de repos et, on le présume, un paquet de gens aux profils et même identités inconnus. Voila que dans les médias on apprend ce matin que la première livraison du vaccin ne protège qu'à 60 % les bénéficiaires et à condition de respecter le protocole si on veut que la seconde dose soit efficace pour arriver aux (environs) 95 % de garanties.

    Via les chiffres de Sciensano on est héberlué d'apprendre le nombre des 1ères et seconde doses administrées aux belges, je vous les livre : ils s'arrêtent au 1 février :

    Nombre de 1ères doses fournies : 285.765 soit 3,10 % de la population vaccinable (+ de 18 ans), parmi ce nombre on découvre écrit en tout petit le nombre de vaccins qui ont été délivrés à des inconnus pour lesquels il n'y aura pas de seconde dose (sauf peut-être s'ils le demandent et justifient pourquoi ils ne sont pas repris dans le décompte... Enfin, ça, c'est moi qui le dis). Ces inconnus étaient au 1 février : 1212 !

    Intéressant de connaître aussi la répartition géographique des doses injectées (essentiellement dans les maisons de repos) : 17.412 à BXL 19 communes, 180.865 en Flandre et 86.276 en Wallonie ( les 1.212 inconnus on ne sait d'où ils sont).

    Pour la seconde dose on en a donné jusqu'au 1 février inclus : 21.159 pour le pays, espérons que le chiffre des 2èmes doses grimpe plus fort que la première dose pour avoir un max de gens bien vaccinés., les 2èmes doses se répartissent ainsi : 2.664 pour BXL, 8.838 pour la Flandre, 9 617 pour la Wallonie.

    Tiens, on apprend aussi ce matin que les plus de 65 ans ne pourraient pas recevoir le vaccin Astra-Zeneca, je vais essayer de mettre en commentaires du blog (et sur Facebook) ce que je trouve sur tous ces sujets dans les médias.

    SVP j'ai besoin de votre avis, de vos commentaires sur la vaccination à la belge.

    Au niveau des chiffres :

    Décès : 49 (+ 17)

    Admissions hopitaux : 138 (+ 21), Sorties : 190 (+ 139), Hospitalisés : 1754 (- 98), Soins intensifs : 311 (- 14), Respirateurs : 172 (statu quo)

    Contaminations :

    Oupeye : + 4, Liège : + 47, Anvers : + 91, BXL : + 198, Trooz : + 0, N-A : + 39, Herstal : + 18, Visé : + 6, Bassenge : + 0, Juprelle : + 1, Eupen : + 1, Malmedy : + 2, Verviers : + 3, Hasselt : + 14, Saint Trond : + 22, Arlo: + 26, Aubange : + 5, Floreffe : + 1, Mettet : + 2, Namur : + 14

  • Bilan Covid 29 janvier 2021

    Ce matin, en plus des chiffres habituels je vous propose la lecture d'un article de la RTBF paru hier soir, un article très complet à la présentation qui veut tout dire et que vous trouverez en cliquant sur celle-ci :

    VACCINS, " Ce n'est pas l'humain qui est au centre, c'est le profit ! "

    L'accasion aussi de dire votre avis et d'en débattre aux commentaires de cet article de blog.

    Les chiffres du jour :

    Décès : 49 (- 5)

    Admission hopitaux : 130 (+ 12), sorties : 152 (- 13), Lits occupés : 1817 (- 33), soins intensifs : 323 (+ 10) sous respirateur : 167 (- 6)

    Contaminations :

    Oupeye : + 3, Liège ville : + 33, Anvers ville : + 132, BXL 19 communes : + 216, Trooz : + 1.

    Bassenge : + 1, Herstal : + 12, Juprelle : + 3, Visé : + 2, Ans : +22, Seraing : + 16, Hasselt : + 27, Saint-Trond : + 23, Eupen : + 3, Malmédy : + 1, Saint Vith : + 2, Verviers : + 10, Arlon : + 15, Aubange : + 7.

    Vlaamse Kust :

    Knokke-Heist : + 2, Bruges : + 27, Blankenberghe : + 5, De Haan : + 1, Bredene : + 10, Ostende : + 43, Middelkerke : + 3, Nieuport : + 3, Coxyde : + 4, La Panne : + 1

  • Un testing différent

    JE PROPOSE UN TEST TRES DIFFERENT DU TESTING BELGE VIA SCIENSANO...

    Actuellement les personnes qui sont testées à raison d'environ 30.000 tests par jour en Belgique le sont via des présomptions d'être affectées par leur médecin traitant ou un service médical, qu'ils aient les symptômes ou non, on remarque qu'au fil des testing le nombre de ceux-ci allant en augmentant permet de constater une hausse des cas positifs.

    Bon, un cas positif n'est pas un malade, même si la personne doit respecter une quarantaine dont le nombre de jours diminue au fil du temps, cela suppose aussi un second test en fin de quarantaine pour voir si la personne est "guérie". Plusieurs, parmi ces personnes, sont généralement opposées au port du masque (et aux mesures gouvernementales quelles qu'elles soient) prétendent que les cas positifs outre le fait qu'ils ne sont pas malades ne seraient pas non plus contagideunes surtout quand il s'agit de jeunes jusqu'à un âge qu'ils ne savent pas, eux-mêmes, déterminer.

    Personnellement, je dis qu'une personne "positive" est malade et son était pourrait empirer, elle doit être suivie, hospitalisée le cas échéant, elle est contagieuse et donc doit être isolée le temps de la quarantaine même si son état laisse à penser qu'elle n'sst pas malade.

    Je pense qu'il faut revoir intégralement la prévention de la Covid 19, d'abord en organisant un testing particulier sur un public test volontaire.

    Pas obligatoire mais suggéré, avec des cadeaux motivants à la clef.

    L'été est passé, il doit y avoir en Belgique des centres de vacances bien équipés avec du logement, des cuisines, des loisirs, de quoi faire une "COVID ACADEMY" dont les acteurs seraient exclusivement des personnes hostiles aux masques et à toutes les mesures de distanciations sociales, ces personnes qui disent haut et fort, via les réseaux sociaux, les pétitions, que la pandémie n'a plus de raison d'être. durant trois semaines (21 jours) de vie paradisiaque, en "all in" pour manger et boire, piscine, jeux, soirées dansantes, sports comme le judo, la lutte et autres sports  de contacts, école de danses de salon, soins du corps, enfin tout ce qui perment de ne pas respecter la distanciation sociale sans masque bien sûr !

    Les candidat(e)s ont leurs salaires et/ou allocations auxquelles ils-elles proméritaient avec garantie de retrouver leur job après la Covid Academy, et  - en prime - un jeton de présence par jour d'Académie, équivalent au jeton de présence d'un député fédéral,  A la différence des réality shows : leurs journées ne seraient pas filmées, elles ne seraient vues que par leurs proches, un collège d'experts, un réprésentant de chaque parti représenté à la Chambre, un jury populaire composé d'une cinquantaine de personnes à parité H & F volontaires et du Roi des Belges.

    Donc en résumé les personnes testées sont volontaires, intéressées par les cadeaux, s'engageant pour 3 semaines. Elles doivent être hostiles à toutes les mesures gouvernementales dont le port du masque, cet ustensible ne sera d'ailleurs pas disponible pour les volontaires au jeu

    En cas de maladie visible, d'un ou de plusieurs, candidats durant ces 21 jours, sauf si la personne le demande, aucun soin Covid ne sera effectué, et si un soin est opéré la persone sera éliminée du jeu et non remplacée. Elle ne percevra ses avantages que jusqu'à son abandon. Si elle doit être soignée pour une autre maladie ou indisposition, que la covid, la personne pourra réintégrer la Covid Academy sans rien perdre de ses avantages (dans  la limite des 21 jours de sa participation avec son équipe première).

    Ce test de 3 semaines permettra de voir si le covid s'installe ou non dans un public hostile aux mesures mais pas nécessairement non positif avant le test, le seul test n'ayant lieu qu'en fin d'épreuve. Je rappelle qu'il n'y a pas de test avant les 3 semaines du "jeu". Si la personne est infectée sans le savoir ce n'est pas important, on le constatera suivant l'état de la personne les jours suivants ou via le seul test éxécuté celui réalisé le lendemain du dernier jour du "jeu" s'il reste des traces du virus.

    Bon, ce texte peut faire l'objet de commentaines, dicussions, allez-y à fond la caisse !